Les différents types de réseau pouvant être utilisés pour un vote électronique.
Les points critiques de vulnérabilité pour chaque type de réseau en cas d'attaque informatique.
Les types de réseau à fort, moyen et faible risque en cas d'attaque informatique.
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La blockchain ou chaîne de blocs est une technologie de stockage et de transmission de données, transparente, sécurisée et son infrastructure est réputée inviolable. Elle repose sur la formation de grands registres au sein d'un réseau distribué, c'est-à-dire dupliqués dans le réseau : |
La révolution qui vient sera d’adosser le système du vote traditionnel à la blockchain. L’objectif est de rendre le scrutin totalement indépendant, libre et transparent. Ceci est possible puisque la blockchain est un système distribué, c’est-à-dire qu’il n’est géré par aucun organisme, et dans ce cas, par aucune commission électorale et de vote. |
- Sécuriser le vote avec un réseau distribué et un registre protégé par des procédés cryptographiques - Se passer d'un tiers de confiance ou d'une autorité comme une commission électorale et de vote (non légiféré en France) - Augmenter la participation pour un scrutin et faire diminuer l'absentéisme avec la facilité de voter par voie électronique - Résoudre un défaut de nombre suffisant de bureaux de vote confirmés pour un scrutin (ex: Scrutin National RIC) - Empêcher le bourage d'urne car il est techniquement impossible de changer le l'historique du registre - Avoir un coût nul ou minimal pour l'organisation d'un scrutin - Avoir un outil numérique commun comme voie de communication pour le service démocratique et populaire - Avoir une alternative au scrutin physique en cas de pandémie et de distanciation sociale - Vérouiller la révolution démocratique dans la chaîne et le code qui font office de loi (pour éviter les récupérations et les révolutions de palais) |